La Philosophie à Paris

SEMINAIRES LORAUX / Séance 11 du séminaire de Patrice Loraux sur "Penser et Réaliser loin des deux chimères"

20 Février 2008, 00:35am

Publié par Anthony

 

La première séance du séminaire de M. Loraux à Paris 8 (premier semestre 2008) : « Le “réel” dans la pensée grecque » : aura lieu le vendredi 21 mars, de 9 h à 12 h (voir ci-dessous).

 

Le « réel » dans la pensée grecque

 

2nd semestre  2007-2008

De 9 h à 12 h, salle A 028

21 Mars, 4 Avril, 18 Avril, 16 Mai, 23 Mai, 30 Mai, 6 Juin

 

 

            De la tradition épique aux traités de Plotin, en passant par les Tragiques, les Historiens ou les Philosophes, les Grecs n’ont pas vraiment disposé d’un  « terme »  unique et strict pour dire ce que nous qualifions de « réel », à savoir ce qui, pour avoir traversé les multiples mises à l’épreuve de la consistance propre à chaque forme d’expérience, se révèle manifester un « poids » irréfutable devant lequel nous sommes amenés à plier ou à manœuvrer. En regard des stratégies modernes pour éprouver le réel, on se forcera de construire, dans ses grandes lignes, le champ lexical où tente de se dire, en grec, dans un réseau complexe d’oppositions multiples (visible / invisible,  parole/ acte, etc.) ce que nous appelons ici du « réel », lui-même redevable, en retour, aux situations grecques d’une certaine netteté des contours.



Nous retranscrivons ici une rapide prise de note de la 11e séance de séminaire de Patrice Loraux du lundi (à l'EHESS), pour la rare intensité qu'elle contenait, d'avance cette prise de notes nécessiterait une relecture. Excusez-nous. Nous ferons un prochain post revisitant et synthétisant son travail sur la chimère dans un prochain post. Le secrétariat de Paris8philo.

 

Séance 11  "Parler et réaliser loin des deux Chimères"

04/02/08


On va toucher au pivot de ce séminaire.

Il y a de sauts

Ia difficulté de ce séminaire est que les notions changent. Les notions ont une histoire dasn ce séminaire. Deux mots : méditer et accomplir réaliser. Si quelqu’un X entre il comprend mais il faut être au courant des déplacements.

 

 

Méditer et accomplir (dans l’usage des mots).

Méditer : a) disposer d’un point fixe que l’on peut occuper et si on l’occupe on devient un quelqu’un neutre, un quelqu’un sans qualité. Sinon, on est pris dans le flot des choses. B) une marche à suivre, on ne l’improvise pas. Ou alors avec précaution ; c) l poitn le plus scabreux : un bon usage de la tromperie. (pas de mot pensée en Grce, ce que nous appelons pensé, c’est autre chose). Dans la méditation, il y a même l’usage d’un trompeur actif. On le trouve chez Descartes sous la figure du malin génie. Il est trompeur, mais sous certaine condition : plus il trompe, plus il garnatit. (Pas de méditation si pas inquiétude de se demander si on est mené jusqu’au bout en bâteau. D) tout cela doit être sous couvert d’un garant de réalité (état, grand locuteur, grand autre, Dieu…) Il faut un garant de réalité extérieur à la pensée.

Son extérieur ne peut être son intérieur à elle. Chez Descartes, est ce qu’il y a uen réalité extérieur ou une idée de la réalité extérieure, je n’ai jamais pu m’en assuré. Il faut un garant et le garant peut faire faillite. (beaucoup de garants qui s’effondrent).

 

Le grand accomplir.

Tant que c’est le petit pb théorie et pratique c’est simple.

Ici, c’est quelque chose de difficile.

a) premier acte d’accomplir : raser et annuler jusqu’à la racine ce qui est là. On éradique. Rien ne dit qu’il y aura une suite.

b) la suite est de proposer des fondations radicales, pour toujours. Savigny, 35, 40 ans : « enfin définitvement pour toujours, l’éradiction de l’homem apr l’homme est acquis de l’autre côté de la ligne oder neiss. »

c) mener cela jusqu’au bout, sans frémir.

Il y a cela dans Crime et Chatiment : nous marcherons sur 10 millions de cadavres.

d) On ne petu pas être naïf, il faut avoir intégré dans son programme sa propre auto suppression et on revient au point 1.

Si la philo est entre méditer et accomplir, son destin n’est pas réconfortant.

 

Ce que l’on appelle chimère, c’est entre penser et accomplir pour éviter que la ligne soit directe. Si c’est direct, il y a le tableau que l’on vient de décrire.

 

 

 

Si on situe les grandes choses, tout cela connaît des hauts et des bas par rapport aux choses simplement stables. Elles sont dans l’espacement en question.

Par ex, pour ce que l’on appelle les Grecs : « les G dit on vivaient parmi les grandes choses. » Elle n’étaient pas à advenir, elles étaient là. La cité grec, c’est le bonheur dans le conflit. Aujourd’hui, on ne peut pas maintenir cela.

Une chose majeur « dit on », c’est un récit, la cité grec. C’est un grand récit. Il a été brillant. Il faut aujourd’hui le ramener aux choses. Il est ramené dans les réalia, les petites choses. Tout cela était grand. Proximité entre effondrement et surgissement.

Qq gdes choses :

A) vivre dans la passion de l’arche (début et fin, il renaît)

b) appartenir à deux royaumes en même temps.

« Jouer » va jouer un rôle.

Ce qui est la grande chose, c’est la jointure entre le ciel et la terre.

c) tragédie de Racine ou sermon de Bossuet. Apparat, appereil rhétorique exigé par les passions, sinon, on a le nez sur le néant. Larochefoucault : le soleil et la mort.

d) la surrection aux 18è, de la liberté en tant qu’elle vient de se détacher de la peur.

Fichte : le pb n’est pas d’être libre, mais de le devenir. C’est dans l’arrachement à. Il ne faut pas apporter la liberté sur un plateau, mais arracher depuis la servitude, on le voit depuis la .. et la peur.

e) la compénétration du social et de la science.

 

 

 

III.

Note sur la réalisation.

Je sais qu’il y a de la réalisation tempérée et aisonnalbe (il n’y a pas que des aventures, mais aussi voyages avec retours. Il  ay a des rmans que l’on écrit.

Mais, je ne m’occupe ici que des réalisation hyperbolique 4 :

a)      aventure aux limites

b)      gdes fondations

c)      œuvre intrinsèques qui tiennent par soi sans support (art de la fugue, pas la peine de savoir ce qu’e sont les profondeurs de l’âme allemande). On a pas besoin de savoir ce qu’est Dole pour lire le Rouges et le Noir. Un vrai rapport au roman pas la critique. Intrinsèque : rentrer dedans, sans savoir comment. Sinon, c’est truquer. Pour dormir, il faut faire semblant de dormir, MP.

d)      Le soi même méditant.

Je sais que cela donne des œuvres, mais parce qu’il y a des négociations. Montaigne, il négocie entre le maire et Montaigne, et il y a quand même les essais. Comment joindre les deux réalisations hyperboliques car les essais tiennent tout seul.

 

 

 

IV.

Le bonheur dans le conflit (l’amour).

Les gdes choses, si on veut éviter la cata, ne doivent pas être réalisées. Cependant, ne doivent elles être que penser et méditer ? Cela ne semble pas assez. Il faut trouver l’entre deux. Entre réaliser et méditer.

 

Je rappelle : « gdes choses » toutes les configurations et dispositifs où point d’eff et point d’effractions sont très rapproché soit vertigineux et tragique.

C’est une convention du genre que de dire que la Commune de Paris est de ce type. Ce qui manque c’est le temps.

Ce qui fait la RF et sa continuiation (la révolution commence et ses conséquences continuent).

Une de mes chimères (la philosophie en acte de Napoléon ; il ne va pas dans les biblio pour voir ce qu’il faut faire. A St Clou, c’est son frère qui le sauve. Je sens que les rennes du pouvoir m’échappent mais je ne sais pas quoi faire.

 

Les choses normales sont stables. Un arbre ça naît, ça dure un peu et cela dépérit (arbre philo, c’est le chêne).

 

Si l’annulation et les fractions trop proches, i ln’y a rien à faire. Si on veut écarter un peu les deux, il n’y a qu’une ressource, c’est d’y loger de la chimère.

Si on ne parvient pas à détourner, dériver ou déplacer, le chemin trop bref, il y a seulement tragédie constante.

 

Ex : Madame Bovary, elle n’a pas su être à bonne distance de la chimère. Flaubert si, il fait son œuvre, ressource d’astuce. I lne fait aps tout a fait ce qu’il voudrait masi..

Passion suicide. Bovary raconte ce qu’il y a entre les deux, espace du roman qui’est un espace chimérique.

 

Pourquoi imaginer qu’un seul salut. Philosopher, se glisser entre méditer et penser, c'est-à-dire entrenir la chimère.

 

 

Je propose d’appeler activité chimérique, le penser lui-même en tant qu’il est sans réalisation, qui se continue autrement que par la réalisation. C’est à inventer, j’y viens.

Il s’agit d’un pensé qui a un autre destin que le retrnachment séparé (figure qui finit dans la folie ou le sans intérêt)

 

Chimérique : le pont entre penser et réaliser et couper. Ce pont, c’est la dialectique. Aujourd’hui, elle est suspendue. Si on en fait, on est retardataire. On peut être éternellement anachronique, plaotnicien.

Cela évite de penser la séparation entre penser et réaliser. C’est parce que c’est effondré que les deux termes paraissent branché lun sur l’autre. Il faut croire à la dialectique, oui, mais il faut avoir le grand réaliser.

La médiation, on peut l’avoir toujours, car on peut toujours la truquer. Descartes est trop malin : jamais, il ne met totalement en doute la giabilité du langage. Wittgenstein dit que c’est verbal. Il y a des sentiments qui ne peuvent pas être mis en doute. Si ce n’est verbalmet, cela peut avoir une foncton. ;

 

 

Le pb du pivot

La pensée ne donne plus matière à travail comme on disait le travail de la pensée. Elle ne donne plus matière à construction de l’Sp, plus matière à des chefs d’œuvre : incluant la perfection finie (la science de la logique de Hegel : la pensée se donnant sa propre matière qui n’est que la langue de la pensée. C’est son propre soutient et continent la perfection finie d’elle-même. Hegel savait que ce n’était qu’un libre. Il savait qu’une différence entre un livre et l’état).

La pensée ne donne pas matière à faire des livres (aujourd’hui, l’imagination, le sentiment, le ressentiment..)

Livre où la amtière du pensé, c’est le pensé méditant. Le garant étant la pensée elle-même.

 

La pensée peut donner matière à des appareils de pensée. Il y en a plein (ou pas plein). Plein à condition que pensé soit calculer.

 

J’ai fait el décompte :

Comment la méditation eut donner l’enclenchanement à un réaliser.

Quand Hu recommence à méditer, il a chance de ne pas être trop inquiété trop à quoi cela donne matière, ce qui pense. Cela avait liue comme séminaire et comme cours. T c’est les Il y a

Il fait des disciples, mais ils sont tous discidents.

 

Fink demande à hussler de préfacer : il n’y a aucune pharse que je ne puis m’approprié. On est dans le Parménide, Zénon, qui fait que répéter la langue du maître.

 

SI on ne veut pas cela. Je ne pense pas que la pensée donner naissance à des actes. Pas à des œuvres. Des appareils peut être mais dangeureux. Construction, cela ne tient pas. Production, affreux.

Méprise inouie que de croire que c’est Platon. Malgré l’identité de la lettre, c’est tout différent. Je ne vous invite à ne pas lire, c’est un produit. Toute préface transforme un peu un livre en produit. Il y a des préfaces qui disent, c’est nul. Vernant, il était très frt our récrire le livre mieux dans la préface (il ne le savait pas tout à fait), on dit c’est dommage.

Expérience, état, annulation.

Rien ne m’a satisfait.

 

Et si on disait que la pensée donnait matière à des « jeux de pensée ». Proximité mais différence avec les jeux de langage.

Jouer à la pensée.

 

 

 

V. Jouer

Attention jouer n’est a réaliser. Méditer, n’est pas juer, à moins que. Jouer implique, un dispositif qu’on appelera l’espace du jeu, le théâtre du jeu. Lieu artificiellement circonscrit. Si on est en dehors, il y a des hors jeu. Dans cet espace (où cela se joue, cela se décide)

Jouer implique la définition de place (il y a des places).

(homologie de configuration entre la configuration jouer et penser).

 

Il faut une place occupable et définie. Il faut les occupants puissent permuter.

Il faut un rôle (les sto : joue tout rôle dans la grande pièce dont tu ne connaît pas l’histoire.

Descartes, ce n’est pas le théâtre là. Pour lui, penser, n’est pas jouer au théâtre. Il essaie de se déprendre de l’illusion comique. Il esssaie de se déprendre de l’illusion comique et de ne pas discerner le théâtre et le monde, le monde et le théâtre. Bien jouer, c’est savoir la difféence et savoir ne pas trop la savoir).

Interpréter

Simuler (poker, cas infime et sans intérêt de jeu)

Il faut risquer et parier.

Il faut des règles.

Relancer. (cela se joue par partie)

[Il n’y a  pas d dernière partie d’échec, une partie qui rend impossible les autres parties. Il serait important de savoir ce qui se joue et la chimère qui jnous joue et nous fairt jouer à la hcimère. On est en dehors des deux écueils : méditer solitaire et réaliser la cata]

 

Il ne faut pas confusion entre le fait qu’on joue et les passions effectives. Un bon rapport à la délimitation. Comment passe en nous, l’attitude jouante.

 

Il serait intéressante de se dire inventons des jeux. (Wittgensten aurait été passioné à inventer un jeu comme le jeu d’éhc).

C'est-à-dire inventer une nouvelle façon de jouer.

Peut être que c’est la même façon de jouer, la même partie, la même partition ;

 

Le gd lieu du jeu, c’est le langage. Le langage est fichu. C’est avec lui qu’il faut savoir comter. Mais pas trop s’en rapprocher car sinon jeu de langage.

Jeu de penser, c’est savoir se rapprocher du pôles fiche. L’homme sans qualité (chez Musil, c’est enrubanné par l’œuvre). Il faut formuler des règles : toutes les règles ne sont pas énoncées. Les règles où pas données, elles peuvent changer (idées fauses des règles), il y a simplement une règle qui change le changement de rèlge. Aristote :quand une situation est indéterminité, la règle est indéterminée.

Ct homme que l’on dit plan plan,. L’indétemriné est des deux côtés.

 

 

J sais que dans nos esprits il y a de a résistance.

On nva dire que le sérieux de la vie, c’est du jeu. La vie est trop sérieuse pour être un jeu.

La vie exige de savoir jouer entre les extrêmes entre les écueils, avec les contraintes, les mirages, séductions, captures, peurs, angoisses.

Si on sait jouer à tout cela, on n’est pas mauvais dans la vie.

Fin de partie : il faut savoir jouer avec la fin.

Fin de partie, lus de chimère  Beckett. Il est d’une grande utilité pur penser la fin du jeu.

 

 

 

Fin de partie, blocage et plus de chimère

L faut un orce inouie, pour entretenir ce qui fait un jeu. Il est presque facile de faire une sorte de pathos des extrêmes et des écueils, délégations des contrantes, séductions aux mirages, maniulation des peurs.

 

Mon pb est d’introduire une idée qui est de savoir jouer avec cela.

Force inouie pour faire tenir une chimère (Pascal est un maître, quasi superposition du pensé et du jeu). Si on joue pour gagner, on ne sait pas jouer. Si on chasse pour avoir un lièvre, on ne sait pas chasser, cour aux dames

Un jour, cela aura une fin, : on verra que la geurre est un jeu.

 

Un jeu ne tient que par l’entremise de la chimère. La plus grande de toute étant que dans l’espace du jeu, le possible est toujours intact.

Il y ait la questions au départ : est ce qu’il y a toujours de l’intact. Le jeu exige qu’à chaque distrigution (après les jeux se dérèglent). Le possible est toujours intact.

Il faut une force inouie, pour ce que j’appellerait le semblant vrai (pas le vraisebmalnt), on sait que c’est du jeu et on joue. Il va du rapport entre l’adhérence catastrophique.

SI on adhère à une grande mission, on est embraqué. Qu’est ce qu’être une mission sans adhérer.

 

 

 

 

 

Analysons l’espace du jeu :

Le moment où le pensé est au plus près du jeu, c’est au 17è. Les 2 espaces se suppeposent.

Si je dissinait l’epace du jeu, et les places.

 

4 places :

a) celle assignée au sujet astreint, assigné, place vide pour n’importe qui. ‘est une place d’inconsistance, un que suis-je. Un sujet, c’est cela : accomper une palce d’inconssitance, mais pas nulle, mais indéterminée.

b)

[attention, ce n’est pas l’espace des joueur. C’est l’espace logique de la notion de jeu. La notion de concept de jeu si on l’analyse, il a besoin de tenir ensemble lusieurs conditions. Si une dérèglées, c’est fichu.]

Celle du légilateur. L’instance qui, formule énonce, les règles, les méthodes, les usages, selon la convention. Hamilton : elles ne sont pas nécessairement fondées, sinon on perd notre temps.

Ce n’est pas un jeu de société, comme Mahjong ou le jeu de go. Mais de la situation (partout, Platon christianisme, moderne) , les lois, règles normes, énoncé qui a pour force de s’appliquer à un cas, si c’est le cas, la règle est bonne.

Le législateur, c’est le maître d’un certain non fondé et  quoi il faut savir se plier.

c) il y a un non trompeur qui entretient la possibilité du doute.

Le sophiste de Platon sait très bien que s’il n’a pas la possibilité de quelqu’un qui fait tout pareil que celui qui le fait vraiment, mais sans le faire vraiment, mias sio nne voit pas la gravité à suivre celui qui fait tout semblant sans que cela soit vrai.

Si le discernement est facile, pas de pb : le faux vrai qui arrive à passer pou du vrai sauf si on assez de pédagogie, de vision pour discerner ce qui n’est pas discernable. Pv de l’indiscernable.

 

Pascal, 2nd discours sur la condition des grands.

Le roi pour eux, je ne suis pas le roi. Il faut faire la différence. Il faut savoir manœuvre sur ce registre. Il y a un déficit de cette fonction, de ne pas se prendre pour. En plus distributeur ds places.

 

d) la question du garant de la réalité.

Qui garantit le réel. Si c’est quelqu’un, cette fonction est hors jeu. Par là, le jeu contient du hors jeu.

 On ne peut pas mettre Dieu dans le jeu. Il est celui qui fait tenir la garantie, sans être hors jeu. S’il est hors jeu, c’est un point par quoi il est ouvert.

Si le garant est interne au jeu, c’est le crédit. Cela ne se comprend que par le fait que nous ne voulons pus de transcendance.

(si on ne veut pas de trasncendance, vous aurez les chimères. Pas de trasncendance, c’est le point de consensus). : extérieur inclus. On ne veut pas d’ordre, pas d’harmonie. Liste des refus contemorains. On a en mémoire les expérences totalitaires). Ou bout dun moment on ne vuet plus rien de grand et narcotique. Cela revint, si on ne sait pas jouer : ou bie le né sur le trompeur, les règles pures et simples, une défifiance de garnat, la pleine soliditude du sujet assigné. Si on ne sait pas jouer, on risque pas mal de truc. Jouer, ce n’est pas ludique. Le jeu c’est sérieux, Platon, Montaigne, Gide (éthique française) : on doit composer avec le semblant et c’est la grande éthique.

Euphémisation du vrai. Dire le vrai dasn des modalités différetnes. Jouer, c’est cela qui est difficile.

Le goulag c’est pas du jeu. Il s’agit dans mon SP de faire comprendre que ce qui fait tenir les choses les plus grandes, ce n’est pas du fondement masi une certaine inconsistance. C’est cela ouer.

 

Si on ne fait pas cela, on a besoin de narcotique.

Est-ce que c’est drôle ? Peut être pas, mais c’est jouable, on peut continuer.

La philo, c’est fini, c’est du baratin. C’est utile, cela fait de la relance rhétorique. Règles pour continuer et jouer autrement.

 

 

Si on dessine l’espace d’une notion (elles sont les unes en tension par rapport aux autres). La lace d’incnsistance peut se déplacer du côté de la place du législateur.

Le contrat social, quand R l’énonce, c’est le jeu inconsistant qui ne repose sur rien d’autre que sur sa fiction. Il devient un législateur.

Mais on peut devenir aussi un trompeur (c’est une fonction indispensable). On oblige à avoir un peu plus d’éveil pour ceux qui sont susceptibles d’être trompés.

Tous ceux qui entraînaient le PCF, ils étaient trompés eux-mêmes. Qc d’éteint : la tromperie doit contenir en elle la possibilité de tenir l semblant. Situation délicate, on n’est pas le premier trompeur.

 

 

Fonction décisive.

Toute époque a besoin de cette fonction, bien réglée.

 

Au 17è, on sait très bien ce qu’est un trompe l’œil, la perspective.

Il faut se laisser prendre aux apparences. Pascal : regarder un tableau, quel point de vue, à vous de trouver (il est méchant comme tout. Il est d’une méchanceté qui est indispensable).

On est obligé de se fier, mais on sait qu’il y a du trompeur. L’amour est un jeu formidable. Tromperie indispensable. Mais il y a un art de la tromperie qui est liée à un savoir parler.

 

 

La question du crédit (ultra présent en ce moment).

Qu’est ce que ce jouer en ce moment. Le jeu de la SG est un dérèglement du jeu. Jeu autonme qui a perdu le point, la tromperei…

Celui dont je parle, est on sait pas où on est, on ne sait pas où son les acteurs il n’y a plus de place, il faut une place pour penser.

 

Le jeu dont je parle est exemplifier dans sa totale corruption, par ce qui ce joue en ce moment. C’est l’image inversé que j’appelle en ce moment.

 

Je ne parle pas de jeux de sociétés, encore qu’ils entretiennent la chimère sociale.

La grande chimère socale, politique, c’est la démocratie. Attention, on ne joue pas à faire semblant d’être démocrate. Mias elle est locale dasn chacun dans un corps de citoyen. Dans des règles qui ne sont pasà formuerl. Il  a rodant un gradn trompuer que l’on peut appeler le Démocrate. Quel est le garant de réalité qui n’est pas un régime, mais la chimère de tout régime.

 

Dirait on que la société est un jeu ?

On a envie d’ajouter que cela veut dire que la société si on dit qu’elle est un jeu (ce n’est pas que l’on fait la grimace pour faire la parodie), c’est trouver un parcours entre les pôles dont j’ai parler.

 

Parler en terme de jeu. Cela veut dire que ce qui est là. Il faut parler de ce X en terme de jeu. Morgonstel von Neuman (livre sur les jeux, mais ce n’est pas cela ici : il faut un concept à part. Cela a pour fonction, d’alimenter et de faire tenir la chimère. Qui tien u jeu, c’est une chimère et la chimère nous tient que si on sait jouer.

Ne poser pas la question qu’est ceuqu’n chimère, on epeut pas le savoir, si vous le jouer, vous les savez. Pas une notion partique, pas une notion théorétique, mais ludique.

 

 

 

On pourrait écrire une histoire des jeux de pensée.

La ensée n’a pas l’inconsistance du rien qu’elle est

Elle n’a pas la consistance des édifices sociaux, d’états, mais une consistance à mis parcours.

Attention, méditer, n’est pas encore jouer. Dès que la méditation veut faire un pas hors d’elle-même.

Méditation est posture anacrhonique qui fait la différence. On a une figure parodique dès le Théétète. Portrait ridiculaisnat du philosophe auqueil il faut éviter de s’identifier.

Le méditatn est un personnage quasi grotesque. Dès qu’il veut faire un as dans la réalité, la méditation aura besoin d’une chimère : il faudra qu’elle joue.

_ le pari de Pascal. Tout un tas de crétin disent que l’on ne pas parier Dieu. Pascal sait très bien que penser est assigné à un recoin de l’univers. Il a des règles, on en connaît certaines, pas toutes (le labyrnthe est une règle, savoir tatonner). Pascal sait ce qu’est le roi. La fronde est passé par là. Moment d’inconstitance politique, qunad la grande consistance politique renaît, les œuvres ont changés de nature, elles ont besoin de l’apparat et l’appareil. Après plus que l’appareil. 

 

Le jeu n’est pas un divertissement, sinon, c’est sa parodie et sa dégrdation. Chez Pascal, c’est le calcul risquer à faire tenir ensemble les fonctions dont j’ai parlé.

ON pourrait montrer que la cure est un jeu. Il y a du trompeur, du trompé, des règles, un sujet assigné (pas tout à fait là encore) un type de crédit et garantit. Tout cela est flottant.

 

La culture aussi est un jeu. Epoque de Musil : la culutre est un jeu qui est en train de se perdre

La GM1 révèle le ranchant de la réalité, elle a tout lacéré. Il a commencé en 18, 19. Les ravags sont faits. Nez sur l’appreté teribl

La culture, c’est l’art consommé des renvois. Montagne qui renvoie à Thomas Mann puis..

 

Cassier/Heidegger. C est un tenant de la culutre. Tenant de Leib : c’est rès ténus. C’est le grand jeu de la raison.

Si on sait être dans la raison, on n’aura jamais de grand pb. Le mal, le bien, la douleur appartient à un tableau et si on comprendre.

Heid, dit que c’est ennuyeux. C’est vrai mais cela évite le pire.

 

 

Qns qui ne s’est pas aperçus de la chose et n’a pas toujours su jouer. Desanti.

Rêve de Flambeur.

 

 

 

 

J’appelle chimère ce qui anime le jeu.

Si on ne sait pas jouer pas de chimère, mais il faut payer le prix. Si plus de chimère, on ne peut plus jouer.

On ne peut pas savoir ce qu’est une chimère en dehors de la façon de jouer. La question qu’es ce est écartée. La métahysique classique est écartée.

Elle a produit des chimères, mais elles s’est écarté.

Repoter à qu’est ceuqe.

L’idée platonicienne, c’est le nom de la chimère. On produit un monde des idées qui suprobme.

On se demande comment existnet les isgnifications. Cela a l’air sensé, mais c’est l’absurde de la signification.

Husserl, Meinong, les anglo saxons (entre nous)

 

Il ne faudrait pas l’avoir poser. La faire disparaître : le jeu.

Ce que j’appell eju, c’est faire apparaîre des situations

A : il est plus facile de poser une question que de répondre. Mais qu’est ce que c’est que… Bouvard et Pécuchet.

 

 

Le objets e la philo ne sont pas repérable en dehors des situations ad hoc.

Si on joue, on sera très bien avec notre chimère. Si on ne sait pas cjoer, elle reste entt ravers de la orce, comme une chose dont on ndoit se déprendre. On narrive pas sen s’en déprendre si on ne joueas.

L’entretien, c’est de savoir jouer (on a en plus une mauvaise image du jeu).

 

Quand la chimère dépérit, le jeu se figeIl devient u njeu auquel on ne croit plus : un apapreil. L’autre du jeu en c emoment, c’est l’appareil (gd appareil informatique total).

On nous dit que l’o va jouer. Jeu fictif. On est solicité à jouer et ce que j’appelel jouer. Comment faire le déaprd.

 

Dans les pôles, soit perturbation, coalescence.. quand le garant et le trompeur et q e légilaeu, on est pas bie, on a devant un vrai moloque.

 

Jouer, c’est faire la diff entre jouer et adhérer. La diférence est philo. Si on cesse de jouer, on adhère Si on adhère, on est captif avec l’anti jeu en excellence.

La promesse commiste, ils se sont mis à réaliser et ils se sont mis en dans du définitf.

Si on dit enfin, c’est le début de la fin, ce sera la fin

 

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