La Philosophie à Paris

FACHOSPHERE / Laurent Obertone

17 Septembre 2021, 20:20pm

Publié par Jean-Charles Robin

Laurent Obertone

Réactionnaire, extrême droite

Parcours
Qui est Laurent Obertone ? Une chose est sûre, ce n'est pas son vrai nom : le journaliste de 28 ans en 2013 et 36 en 2021, diplômé de l’école supérieure de journalisme (ESJ) de Lille, dans la filière Presse hebdomadaire régionale, écrit sous pseudo, pour protéger sa famille, comme il l'explique sur France inter ou à Livre noir. Il affirme avoir reçu des "menaces à la suite de la parution de ce livre", la France Orange mécanique. (1)

Faits
Dès mai 2008, sous le nom de "l'Ubiquiste", sur le site participatif come4news et ce jusqu'en décembre de la même année il a publié six articles dont "Obama-le-métis ou le triomphe de la bêtise", ou "Lettre ouverte aux détracteurs invétérés de Jean-Marie Le Pen", comme le cite Mediapart. Toujours, selon Mediapart, Obertone crée en octobre 2008 un autre blog dans lequel il se nomme "le Pélicastre jouisseur, le blog de l'ubiquiste", qui va rapidement être repéré (ici ou ici) dans la blogosphère d’extrême droite. Dans la réacosphère, il est souvent cité comme "le pélicastre" on retrouve le nom de "l'Ubiquiste" dans les commentaires signés du propriétaire du blog. L'enquête se fonde sur des témoignages d'anciens de l'ESJ, qui ont "confirmé avec certitude, mais sous couvert de l'anonymat, qu'il était bien l'auteur de ce blog". Plusieurs anciens élèves ont toutefois refusé de répondre à la journaliste de Mediapart en lui raccrochant au nez.
En 2013, invité de l'émission de Laurent Ruquier dans "On n'est pas couché" sur France 2 pour son livre polémique "La France orange mécanique", Laurent au pseudonyme d'Obertone finit par le vendre 200 000 exemplaire. Marine Le Pen en fait la promotion, voici la vidéo, même s'il se défend de toute proximité avec elle. Il se défend d'être d'extrême-droite, tout en étant incapable d'évaluer le message qu'il véhicule et le faitalisme dont il fait preuve. Dans ce livre, le journaliste "Laurent Obertone" entend donner les "vrais chiffres" de la délinquance, et se pose en dénonciateur de "l'ensauvagement d'une nation". Ce terme se repris par toute l'extrême droite jusqu'à très récemment Gérald Darmanib. Il prétend mener un travail d'enquête en dehors de tout biais idéologique.
En mars 2013, Larent dit "Obertone" porte plainte contre Médoapart pour diffamation.
En juillet 2015, Laurent dit "Obertone" se désiste purement et simplement de son procès en diffamation contre Mediapart. le soi-disant M. "Obertone" « pour des raisons personnelles, entend se désister de la présente instance et action à l’encontre de ces défendeurs », a indiqué son avocat Me Gilles-William Goldnadel dans un courrier adressé au tribunal
Les éditions Ring se sont désistées quant la procédure d'attaque en difamation auprès de la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Ce qui confirme les dires de Hean Robin à la toute fin de la vidéo plus bas, qui par une formule de rhétorique souhaite que le Pélicastre Jousseur ne soit pas Laurent Obertone, mais seul le procès en diffamation que Ring a intenté à Médiapart et les réactions à cette vidéo qui déclencheront peut-être d'autres témoignagnes, et je le souhaite, qui confirmant ou infirmant que Laurent Obertone est le Pélicastre Jouisseur afin qu'on sache la vérité. » Ainsi termine Jean Robin. La seule procédure révèlerait le nom réel de Laurent Obertone, entraînant des conséquences sur ses proches, c'est donc bien pour des raisons personnelles qu'il se désistera à chaque fois.
En octobre 2020, il fait partie des signataires de l'Appel pour la libération d'Hervé Ryssen, antisémite assumé, au nom de la liberté d'expression (Site E&R).

Propos
«  »

Propos démentis par la réalité
 

Ses références (A quoi sert l'autorité sinon de bride ?)
C'est sans doute via les écrits de Pierre Vial que Laurent dit "Obertone" découvre Conrad Lorenz. Plusieurs fois il le site comme une référence. Conrad Lorenz n’est pas un scientifique auteur de réels travaux de recherche dans sa spécialité, coupable de les mettre au service d’idéologies condamnables, comme Hans Günther  ou Alexis Carrel. Hans Günther est un auteur allemand, le principal raciologue nazi et se fait passer pour un scientifique, il paraît étrange que Laurent dit "Obertone" ne le connaisse pas, s'il connaît Pierre Vial.
Sa fascination pour Hitler (voir tout à la fin l'article de Pélicastre que nous avons exhumé avec les collègues) et le suprémtisme blanc, le pousse à écrire son second roman, intitulé Utøya, cette fois écrit à la première personne. Il est consacré à Anders Behring Breivik, terroriste norvégien d'extrême droite responsable des attentats du 22 juillet 2011, qui a assassiné 77 personnes. Il y parle . Le lecteur chemine avec Breivik en Norvége lors de la préparation du double attentat et sur les lieux du double attentat : Oslo attaque à la bombe, île d'Utoya fusillade. (0)

Son réseau :
Avec refus, Jean Robin qui le trouvant trop racialiste, le renvoie vers les éditions Ring (qui ont publiées entre Marsault et Fafacisto)?
En 2010, il fait partie des trois invités qui accompagnent Michel Houellebecq à l'occasion du dîner intime donné par le président de la République Nicolas Sarkozy au palais de l'Élysée, en l'honneur du prix Goncourt reçu par Houellebecq : ce dernier présente alors Laurent Obertone comme « le grand polémiste de demain ». Qui plus Michel Houellebecq considérée Ring comme la meilleure revue littéraire de l'époque : « C'est le meilleur site web que je connaisse.  ... la qualité des collaborateurs, récemment vous avez pris Pierre Cormary, Marin de Viry, c'est du lourd .. La vous êtes les meilleurs de loin, de loin... Je suis content que vous soyez ceux qui vont gagner, ça m'arrange. » (3)
Avis
Laurent Obertone est décrit par France Soir comme « adepte de la théorie du Grand Remplacement (2)
Selon le sociologue Yannick Cahuzac, interviewé par Mediapart, le Pélicastre  « n’affiche pas de soutien à un parti mais appartient au courant islamophobe et navigue entre la galaxie fdesouche et la fraction jeune de la réacosphère. Il est repris sur des sites comme “No country for white men”, “In-nocence” de l’écrivain Renaud Camus, sur le blog de Didier Goux mais aussi “Amiral Woland”, “Fromage Plus” ou “French Carcan”, qui, à travers un discours jeune et subversif, défendent un discours antimoderniste qui peut se révéler extrêmement réactionnaire. Sur “Fdesouche”, on retrouve beaucoup de commentaires renvoyant vers son blog". Dans les billets du Pélicastre qu'a retrouvés Mediapart, on peut lire par exemple : "Racistes? N’importe quel pays aurait déjà lynché et foutu dehors tout ce beau monde, quand les Français se contentent de voter puant, mais pas trop, de temps en temps. » (1)
Comme le dit Jean Robin, notre cousin, à la toute fin de cete vidéo, :  « Si Laurent Obertone est le Pélicastre Jouisseur, cela signifie qu'il va invalidé automatiquement sa thèse. Et xcela est très grave, les faits, je parle des faits et non  de l'interprétation, sont réels et on constate une violence importante dans notre pays. Et donc Si Laurent Obertone est le Pélicastre Jouisseur, ... ce serait offrir à la gauche (?) une opportunie de dire regardez ce livre est fait par un racialiste, donc ce livre est racialiste, donc tout ce qu'il contient n'existe pas et cela leur permettrait encore une fois de nier la réalité. » (3).

Il est qualifié de nazi par Usul dans sa video sur l'extrême droite

En mars 2013, lors d'une conférence à Nice avec Gabriele Adinolfi, Alain Robert Bonnet dit Soral dit à propos du livre "La France orange mécanique" de Laurent Obertone : « Moi, je sais exactement d’où vient le type qui a écrit le livre. Il suffit de regarder qui édite le livre. Ce sont les éditions Ring. Vous, les Niçois, vous savez un peu qui c’est. C’est David Kersan qui est derrière. David Kersan c’est le réseau Dantec, vous voyez ? Donc, en fait, ce sont des identitaires sionistes qui ont en réalité un gros soutien du pouvoir. David Kersan était invité dans un dîner privé à l’Élysée, reçu par Sarkozy. Il faut le savoir. Donc, en fait, les gens initiés, les gens qui ont la culture, savent très bien ce qui se joue en ce moment, et ils manipulent subtilement. » (4)

Sources
(0) Article principal de Wikipédia.
(1) Articles de Médiapart et d'Arrêt sur images de 2013. 

La France Orange mécanique : le vrai parcours de «Laurent Obertone» (mediapart.fr)
(2) Article de France-Soir
(3) Intervention de Jean Robin, en vidéo ci-dessus.
(4) Chercher "Conférence d'Alain Soral et 
Gabriele Adinolfi à Nice"

 

OBAMA-LE-MÉTIS OU LE TRIOMPHE DE LA BÊTISE

Nous le savons tous. Il fut le seul, l’unique, le Big One, le grand événement avènement tant attendu, à un point tel que l’occident tout entier n’espérait absolument plus rien d’autre que cette élection à la tête du pays le plus puissant du monde d’un homme qualifié de métis.

 

Il est à mettre en relief avec un autre événement médiatique très franco-français, de moindre ampleur certes, mais tout de même extrêmement révélateur.

Rien d’étonnant à ce que Le CRAN, Conseil Représentatif des Associations Noires (ce qui n’est, vous en conviendrez, absolument pas raciste. On pourrait imaginer un CRAB pour les blancs…) se soit empressé d’aboyer sur Eric Zemmour comme il s’est empressé d’hululer de joie avec l’ensemble de la presse occidentale pour saluer la victoire d’un Noir, parce qu’il est Noir, que ça rime avec espoir, Barack-Obama-le-métis, son nom soit sanctifié.

 

Les races. Parlons-en. Ah non on ne peut pas. Désolé. Oui partout ailleurs, entendez vous, partout, l’on peut en parler. Des statistiques, des études, et ces légistes américains qui identifient les ethnies à leur squelette ou à leur séquence ADN… Sauf ici. Sauf dans le pays des Droits de l’Homme et de la liberté d’expression… Attention, Zemmour n’a jamais été raciste dans le sens « admis » du terme, à savoir prôner la supériorité d’une race sur une autre. Il a simplement laissé entendre, chose éminemment abjecte (ironie), que ces dernières avaient l’outrecuidance d’exister.

Et bien il s’est trompé d’époque. Le progressisme à fait son chemin, et pour la première fois depuis l’aube de l’humanité, on ne doit plus dire ça. Vraiment. Il est même interdit de le dire, aujourd’hui, dans notre démocratie de la judiciarisation de la société. C’est cette fameuse  envie du pénal, chère à Philippe Muray. Il y a le ramassis d’associations, de braillards échevelés et décervelés, tous ces mutins (de Panurge) autoproclamés qui ne sont que tout ce qu’ils dénoncent, savoir des méchants petits flics sans aucune profondeur ni réflexion.

Lorsqu’on vous parle de démocratie, de liberté, posez-vous des questions… Lisez, réfléchissez.

 

Si l’on part du postulat qu’il faut supprimer les races pour supprimer le racisme, alors à quand la suppression de la palette de couleurs ? Des différences sexuelles ? Des différences mentales ? Des singularités ? Des richesses ? Des ethnies ? Des types ? Des âges ? Vive l’homme unique, de série, vive l’humanité bêlante, vive la fin infinie de l’histoire, des individualités, des individus, de l’humanité.

 

Finissons-en avec le racisme, supprimons les races. Finissons-en avec le sexisme, supprimons les sexes. Finissons-en avec le machisme, supprimons les mâles…

 

Que deviendront ces fameuses « richesses » individuelles que l’on vante tant, lorsqu’elles seront noyées dans le brassage mondialisé de la multitude, sans qu’il en subsiste ni la moindre distinction ni la moindre identité? Citoyens du monde, mais de quel monde ?

Et ceci au nom d’un culte « humaniste » si abâtardi qu’il n’en ressemble plus à rien. Et l’on vous dira qu’il faut du métissage, que c’est bien (au nom de quoi ?), qu’il n’y a même pas à débattre, puisque c’est une vérité révélée, une sorte d’Illumination si vous voulez. Mais qu’est ce donc que ce métissage si les races n’existent pas ? Qui est obsédé par les couleurs de peau si ce n’est ces fameux médias et nervis de l’antiracisme ?

 

Relevez la perversion du système. Les choses sont devenues incontestables. Un doute ? Vous êtes un fasciste.

Mais où est réellement le fascisme dans tout ça ? Le fasciste, n’est ce pas celui qui impose son idéologie en refusant d’en discuter, en menaçant et en poursuivant pénalement l’éventuel et courageux circonspect ? N’est ce pas celui qui contrôle et empêche certaines sorties littéraires politiquement incorrectes ? N’est ce pas celui qui lutte à cor et à cri contre la présence publique de personnages qui ne pensent pas comme il faut ? N’est ce pas celui qui légifère sur l’Histoire, qui interdit des mots, qui proscrit des courants de pensée ?

 

Le fascisme d’aujourd’hui c’est bien ce gaucho-libéralisme. Parlons-en, du gauchisme.

Simplement pour rigoler un peu, on se penche un peu sur l’Histoire, la vraie. Celle que l’on n’apprend nulle part, celle que l’on va chercher soi-même.

C’est dans la poussière des vieux livres qu’on trouve les plus délectables vérités. Un nombre incalculable de gauchisants extatiques devant les grandes figures du socialisme qu’ils citent à longueur de journées, notamment face « à tous les fascismes », en seront pour leurs frais.

Jaurès, Ferry, Hugo, Gambetta, étaient autant de penseurs de gauche très favorables à la colonisation, qui parlaient tous, sans exception, de « races supérieures » et de « races inférieures » à « éduquer ». Une vision de l’humanité somme toute proche de ces néocoloniaux de l’humanitaire et du sans frontière. Et pour le sexisme, on pourra simplement parler de Proudhon, pour qui ces dames étaient moins qu’un chien.

 

Voilà pour faire réfléchir les hystériques de l’anachronisme et les stakhanovistes de la décontextualisation, si prompt à lapider tel ou tel déviant, pour peu que cela serve leur idéologie.

 

Idéologie qu’ils ignorent bien souvent, tant elle les dépasse. Normal, sans Histoire, plus de recul, plus d’analyse, simplement de la bêtise débridée.

Néanmoins, il faut du bien et du mal, seul concept que les enfants (et les infantilisés post-mordernes) sont capables d'assimiler aussi vite. Le manichéisme subsiste. Le bien sera l’égalité, le mal sera la discrimination. Logique évolution de la religion Droit-de-l’hommiste.

C’est une course à l’absurde. Tout le monde doit être égalisé, pareil. Et on coupe les têtes qui dépassent du troupeau. Cette folie globalisante est soutenue par une idéologie bien précise : celle du métissage. Elle a pignon sur rue, dans tous les médias occidentaux, et l’élection d’Obama-le-métis, son nom soit sanctifié, l’a démontrée de façon éclatante. Couplée à l’idéologie de l’antiracisme, nous avons les deux jambes du même monstre, le marteau et l’enclume de l'horreur, et tout cela tend vers cette abominable chosification du monde post-historique et post-humain.

En croyant aller tout droit vers ce Paradis si artificiel de la grande égalité-fraternité, nous passerons par la communautarisation la plus féroce, puis sans aucun doute par la guerre, civile et mondiale. Et chose désopilante, les USA crèveront la bouche ouverte qu’Obama-le-métis, son nom soit sanctifié, n’aura pas fini son mandat.

 

Comme toujours, j’attends des commentateurs arguties plutôt qu’invective.

 

ROBERT SPENCER : LA PROBLÉMATIQUE DE L’ISLAM

L’éminent conférencier n’y va pas par quatre chemins sur le sujet. Cette vidéo un peu longue se révèle être un véritable petit concentré de dynamite. Tout y est dit. Elle mérite d’être regardée jusqu’au bout, sans se laisser aveugler par les réactions stéréotypées dans le genre « critique » = « raciste ». Mais Robert Spencer vous l’expliquera mieux que moi. Certains « intellectuels » sortent enfin des sentiers battus, c’est tout le mal qu’on souhaite à l’enrichissement des débats de fond, jusque là confisqués par une bien-pensance omnisciente, qui risque fort de se retrouver acculée à son manque d’argument. Gageons qu’elle fera tout pour noyer le poisson et biaiser les discussions, comme elle sait si bien le faire. En attendant, merci Robert Spencer, pour avoir le courage de penser. {google}3938582387312322828{/google} Les choses bougent de manière incontestable. Ce sont des signes très positifs. La Grande Bretagne, le Danemark… Les pays de la vieille Europe semblent las de s’en laisser compter. Enfin, le réveil ? On s’attaque encore davantage aux causes qu’aux conséquences. C’est assez normal, ce sont des premières réactions. Il ne faut pas oublier que l’Islam (et surtout l’idéologie antiraciste) n’est que la dernière branche du problème. Il faut le lier à l’immigration et au multiculturalisme, qui découlent de l’ultralibéralisme, lui-même dicté par l’hyperclasse mondialisée. Je reviendrai dans mon prochain article sur cette économie qui mène notre monde...

FOLIE DE MAXIME GREMETZ FILMÉE: AGRESSION OU GUET-APENS ?

L’élu, membre du PCF de longue date, a semble-t-il une fois encore fait montre de sa « folie ». Voilà qu’une vidéo amateur prise en pleine séance du conseil général montre le député très énervé, seul contre tous, s’en prenant par l’invective et les gestes à d’autres élus. Prompts à réagir, ses camarades veulent mettre le perturbateur dehors, en lui reprochant notamment son agression sur Gilles Seguin. D’un courage à toute épreuve face à l’agité d’un âge respectable, ils préfèrent s’en remettre au personnel de sécurité. Deux colosses encadrent donc le fragile mais têtu Gremetz pendant qu’on s’empresse d’appeler la police. {dailymotion}x5lech{/dailymotion} L’affaire est lancée. Une fois de plus, l’élu est dans l’œil du cyclone. Maxime Gremetz est coutumier du fait. Depuis la mort de son fils, l’homme se réfugie, dit on, dans une consommation immodérée d’alcool. D’où de nombreux franchissement des lignes si désespérément inertes de la politique française. Quand on attaque une conférence (tenue à l’époque par Gilles de Robien) au volant de sa voiture, les banalités verbales qu’on lui reproche peuvent prêter à sourire. Mais cette fois ci, est-il allé trop loin dans le dérapage ? A-t-il agressé délibérément M. Seguin ? Voici la version de la malheureuse « victime » : {dailymotion}x596tw{/dailymotion} Nous voilà au bord des larmes. A bien y regarder, il s’agit d’une gigantesque farce. Le plongeon de Gilles Seguin (venu préalablement chercher...

VIDÉO DU COUP DE FOLIE DE MAXIME GREMETZ : AGRESSION OU GUET-APENS ?

L’élu, membre du PCF de longue date, a semble-t-il une fois encore fait montre de sa « folie ». Voilà qu’une vidéo amateur prise en pleine séance du conseil général montre le député très énervé, seul contre tous, s’en prenant par l’invective et les gestes à d’autres élus. Prompts à réagir, ses camarades veulent mettre le perturbateur dehors, en lui reprochant notamment son agression sur Gilles Seguin. D’un courage à toute épreuve face à l’agité d’un âge respectable, ils préfèrent s’en remettre au personnel de sécurité. Deux colosses encadrent donc le fragile mais têtu Gremetz pendant qu’on s’empresse d’appeler la police. {dailymotion}x5lr9m_un-depute-pete-un-plomb-bastons-et_news{/dailymotion} L’affaire est lancée. Une fois de plus, l’élu est dans l’œil du cyclone. Maxime Gremetz est coutumier du fait. Depuis la mort de son fils, l’homme se réfugie, dit on, dans une consommation immodérée d’alcool. D’où de nombreux franchissement des lignes si désespérément inertes de la politique française. Quand on attaque une conférence (tenue à l’époque par Gilles de Robien) au volant de sa voiture, les banalités verbales qu’on lui reproche peuvent prêter à sourire. Mais cette fois ci, est-il allé trop loin dans le dérapage ? A-t-il agressé délibérément M. Seguin ? Voici la version de la malheureuse « victime » : {dailymotion}x596tw_gremetz-frappe-un-elu-au-conseil-re_news{/dailymotion} A bien y regarder, il s’agit d’une gigantesque farce. Le plongeon de Gilles Seguin (venu préalablement chercher la confrontation) est digne des plus grands internationaux de football. A se demander...

IDÉOLOGIE PERNICIEUSE: POUR EN FINIR AVEC L’ANTIRACISME

Si il est une idéologie pernicieuse, c’est bien celle là. Sans que la plupart de nos contemporains ne le relèvent, parfois même avec leur concours involontaire, cette doxa étouffeuse de liberté se répand dans le pays comme une infection maligne, prenant à chaque instant une forme plus vicieuse, franchissant chaque jour un degré supplémentaire dans le pire. Jusqu’ou va-t-on descendre ? Jusqu’au fond, puisque c’est bien là qu’elle veut nous emmener, et dans son sillage le pays tout entier. La gravité du sujet est à la hauteur du « vide » des réflexions dont il trop rarement l’objet. Il faut détruire cette idéologie. Commençons par la comprendre, en s’attardant sur le pourquoi et le comment.   Le contexte :      Le pouvoir n’est plus politique. L’hyper classe ultra libérale règne sans partage sur le globe. Pour accroitre encore son empire, il convient de mondialiser encore, à outrance, de briser les dernières brides contenant encore ce cheval fou qu’est le libéralisme sauvage. Un seul but : le profit. Des milliards de victimes : les peuples. L’objectif :       Le globalisme total, au service d’un libéralisme absolu. Pour mettre ce plan sur les rails, il faut passer par la destruction des états-nations, ces dernières barrières retardant encore l’inéluctable. C’est à cette tâche de destruction que se sont attelés nos responsables et nos dirigeants, de gauche comme de droite, tous main dans la main pour mener à terme ce...

LETTRE OUVERTE AUX DÉTRACTEURS INVÉTÉRÉS DE JEAN-MARIE LE PEN

J’entre dans l’arène, et j’avertis d’ores et déjà ceux que le vent de la contradiction effraie : si vous êtes du genre aboyeur irréfléchi ou intolérant vertueux, passez votre chemin.

La présente, à l’instar de mon inscription sur ce site, fait suite à la publication par un certain Dominique Dutilloy d’une lettre ouverte au président du Front national.

Je veux intervenir ici pour représenter enfin ceux qu’on ne représente pas, ceux qu’on caricature et qu’on insulte, pour me faire la voix des plus grands exclus de notre pays, ces parias trop nombreux qu’on méprise sans connaître. Je ne veux pas babiller, jacasser ou fanfaronner, je veux débattre.

Je ne serai ni lisse, ni aseptisé. Pour ceux qui n’ont pas lu ma discussion avec monsieur Dutilloy, cet article me situera clairement. […/…]

 

Je viens ici vous parler, au mieux de ce que vous n’imaginez pas, au pire de ce qui vous enchante. Tant de choses à dire, en si peu de lignes. Le cri trop longtemps contenu d’une multitude qui me brûle la gorge. Dénationalisation du pays, avilissement du peuple de France, libéralisme sans limite, immigration sauvage… Tout est fait pour couler le bateau France prétendument condamné à voguer tranquillement sur le grand océan du mondialisme.

C’est le peuple qu’on mène en bateau.

Quand on entérine un traité rejeté, quand on se fiche de ses promesses, quand on s’agenouille devant des directives étrangères ou qu’on se couche devant des minorités intérieures… Une mesurette par ci, une promesse par là, et vogue la galère !

Je veux par cet article ouvrir le débat, interpeller, mais aussi placer certains devant leurs paradoxes :

Comment peut-on être à la fois favorable à la diversité culturelle et au métissage à marche forcée ?

Comment peut-on sans cesse faire la leçon aux pays violateurs du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes tandis qu’on bâillonne et qu’on trompe son peuple souverain ?

Qui représente les millions d’électeurs nationalistes (13%) à l’Assemblée Nationale quand le Parti Communiste moribond (même pas 2%) jouit d’un groupe parlementaire ?

Qui représente les 55% de Non au traité européen ? Probablement pas les 95% de députés favorables au Oui, encore moins le Président qui l’enregistre sous un autre nom.

Comment peut-on faire l’éloge permanent des Droits de l’Homme en oubliant ceci :

«Les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ».

Pensez à la discrimination positive, aux hors-la-loi qui manifestent sans s’exposer à quoi que ce soit, complaisamment encensés par les médias, soutenus par des centaines d’associations aux subventions massives. Ecrans de fumée, montages en chaîne. Chair à patron, instruments politiques. Droite du patronat, gauche prétendument sociale, tous sont complices.

Qui, pour la masse silencieuse, jusqu’à ce qu’elle ne gronde à nouveau ? Sa seule voix, son bulletin de vote, dérisoire quand on sait ce qu’en font nos dirigeants. Et personne n’ignore que les dés du débat sont pipés.

« Tout principe de souveraineté réside exclusivement dans la Nation ». La Nation est le peuple. Démocratie, demos kratos, le pouvoir au peuple, par le peuple, pour le peuple. La boucle est-elle bouclée ?
Non.

Comment se fait-il que lorsqu’une majorité d’un peuple décide, vote ou exige, rien ne soit jamais mis en œuvre, ou si peu, ou de façon si illusoire ?

La bouche est bouchée. Obstruée, la liberté d’expression dont on se vante tant. Ostracisés, les penseurs « différents ». Est-ce cette même différence qu’on loue jusqu’à épuisement ?

Non.

Celle-ci ne peut pas être. D’abord un mythe politique, monté par la gauche mitterrandienne, reconnu plus tard par Jospin. Ensuite le parfait exutoire, l’extrême droite, le ventre de la bête encore fécond, les marges, le mal.

Le beau repoussoir pour tous ces gens qui dirigent l’exception française vers l’abattoir, aussi froidement que le bourreau fait tomber un couperet sur une tête.

Deux millénaires d’Histoire anéantis en quelques années, rien, sur l’échelle du temps. Tout, sur l’échelle de notre grandeur.

Renoncer. Le maître mot des procureurs de l’anti-nation. Oublier la gloire, oublier l’Histoire, oublier de réfléchir, oublier qui nous sommes.

Accueillir. S’ouvrir. S’ouvrir tellement que le contenu jadis si riche se disperse dans les limbes de la bien-pensance obligatoire, cette dictature morale qui ne dit pas son nom. La mondialisation est une fragmentation d’entités, une pulvérisation nos origines, ces bases indispensables. Un retour à la poussière.

La sale besogne n’en sera que plus facile. Le troupeau est avili, perfusé. La télévision s’en charge, l’information dans son sens le plus noble est parasitée, éludée, soigneusement masquée.

Le mini-traité a disparu derrière le visage souriant d’une belle italienne.

 

Ouvrez les yeux, ne tombez plus dans le prêt à penser. Libre à vous de vous complaire dans ce système sans réflexion ni avenir. Ce sera sans moi, et s’il n’en reste qu’un, je serai celui là.

Je suis ouvert à toute discussion, si vous oubliez les réflexes pavloviens et prenez garde de ne pas atteindre le point Godwin.

 

Merci de m’avoir publié, donnant par là un certain sens aux mots liberté d’expression. Croyez-moi, c’est devenu rare.

 

Ni droite, ni gauche, je suis national !

Hitler est ressuscité

19 janvier 2009 · 20 commentaires

hitlerflag1

D’abord, la mauvaise nouvelle, tout comme Jésus fut la bonne nouvelle : Hitler est ressuscité. Après quelques années de latence hébétée face à l’ampleur de son œuvre, le monde s’est reconstruit avec son fantôme, allant jusqu’à lui donner un rôle de premier plan. Le rôle de Mal intemporel. Tout a été fait pour que l’Histoire ne se referme pas, jamais, pour qu’elle demeure de la mémoire chaude. Si bien qu’on ne s’aperçut pas tout de suite de sa disparition.

Dans ce monde postmoderne, Hitler est la caution, l’empêcheur de penser, le dictateur des âmes, à l’envers. Il impose par opposition son silence à tous ceux qui remettraient en doute le système du Bien, puisque si les gens s’opposent à ce système, c’est forcément qu’ils sont les suppôts d’Hitler ressuscité. Grotesque réduction Ad Hitlerum des esprits. Incroyable fermeture des choses, sous des aspects indécents d’ouverture toujours plus béante, comme une plaie qu’on n’arrêterait pas de triturer et de disséquer avec le voyeurisme le plus morbide. Tout cela n’est permis que par la déréliction culturelle fantastique observée ces dernières décennies. Voulue, elle aussi.

Ah, ils en ont profité, nos postmodernes. Ils ont tiré à la ligne, sur cette grossière ficelle qui paraissait ne jamais devoir s’user.

Et ils sont allés loin. Trop loin. A tous les niveaux.

Le capital est devenu ultralibéral.

Les accords de Nations sont devenus le mondialisme.

Le progrès est devenu le progressisme.

L’anti-immigrationiste est devenu le fasciste.

Le sceptique est devenu l’affreux réactionnaire.

L’émancipation est devenue le féminisme.

La libération sexuelle est devenue l’exhibition absolue.

L’Egalité coïncide maintenant avec la fin de la Liberté.

L’immigration de travail est devenue une obligatoire immigration d’accueil.

La reconnaissance de faits historiques est devenue la repentance continue.

La charité chrétienne est devenue le droit de l’hommisme.

L’humanisme est devenu la déification de l’homme.

Le pêché originel est devenu le masochisme occidental.

La lutte contre la discrimination a fini par discriminer ceux qui n’étaient pas suffisamment différents, traduisez pas pareils.

La lutte contre le « racisme » (avec la peur d’Hitler ressuscité) a fini par devenir la lutte contre ceux qui n’étaient pas antiracistes. Puisqu’il est convenu qu’un anti-antiraciste est forcément un raciste. Machine de guerre, orwelienne, sponsorisée par les états complices.

Et cætera, et cætera. Tout a été brisé.

L’immigration est affaire d’ultralibéralisme. Par extension, celui qui ne soutient pas ces projets est l’ami d’Hitler. Un mec qui en d’autres temps ne se serait sans doute pas gêné pour dénoncer… Allez savoir ma bonne dame.

C’est la loi tacite des suspects. C’est la Terreur nouvelle des consciences. Ces forçats du progressisme se sont fait briseurs de tabous universels. Ils n’ont depuis plus arrêté de sauter par les fenêtres.

Et à l’autre extrémité de la machine, les bons rebelles, ceux qui cautionnent l’ultalibéralisme en leur offrant l’alibi des droits de l’homme. Souvent les plus actifs chasseurs de « nazis », traduisez de sceptiques.

Pour compenser cet horrible glissement des choses, pour masquer le chamboulement résultant de l’atteinte de telles extrémités à tous les niveaux, le monstre s’est évertué à recréer un faux équilibre, ailleurs. Puisque, je le répète, tout ce qui l’intéresse est de masquer son forfait. Falsification de la réalité. Faux, usage et abus de faux.

Le manichéisme, il n’y a que ça de vrai. Tout le monde peut comprendre, même les amateurs de la star-ac. Un pôle droite-gauche, avec un centre, des « extrêmes », c’est la création d’une fausse balance loin de la zone de combat, d’un faux duel là où il n’y en a pas, d’une fausse opposition de valeurs-hochets, alors que la véritable subversion est rejetée sous le visage d’Hitler, cet homme tant de fois nommé « inhumain », comme pour l’absoudre de sa qualité d’être, comme pour le rejeter d’un statut auquel il ne saurait prétendre, pour ne pas demeurer une sorte de virus du bel humanisme bon et fraternel, dont le concept même implique l’idée de perfection.

Or, la perfection comme la vérité ne sont pas des concepts universels. Ce qu’ils ne comprendront jamais, ces fous qui voudraient nous imposer des limites et des extrémités après avoir tout transgressé et tout détruit.

L’humanité moderne a bel et bien engendré Hitler. L’humanisme postmoderne est en train d’accoucher dans la douleur de quelque chose de bien plus monstrueux et effrayant. Ca ne va pas tout seul, alors ils accélèrent le mouvement, ils doutent, ils font ça au forceps, pratiquent une césarienne.

N’attendons pas que cet Alien déjà autonome ne devienne trop grand.

Cet affreux monstre que l’on nomme le Bien, a été travesti à l’image de la religion qui jusque là l’incarnait. Le Christ (l’homme devenu le Bien) s’oppose à Hitler (le Mal devenu homme). Seulement, entretemps, l’idée de Dieu a été laminée par les Lumières, tronquée, diffamée, travestie à cette grossière image anthropomorphe. L’homme déifié, le culte humaniste, voilà la nouvelle religion du Bien, censée remplacer le divin, censée s’opposer au Mal moderne, rejeton de la technologie guerrière, de la rancœur de l’honneur humilié, de la puissance contrariée, de la folie frustrée, et du racisme réel. Tout cela en s’exonérant du pêché originel, de l’idée de résurrection, de tout ce qui faisait la puissance de Dieu.

Et il faut reconnaître qu’Hitler fut parfait. Il est devenu le visage du Mal, comme Jésus fut jadis le visage du Bien. Hitler a incarné la Discrimination, comme l’homme moderne tente piteusement d’incarner l’Egalité qu’il a sanctifié, et au nom de laquelle il chante après ses massacres (tels les Te Deum). Le combat est gagné d’avance. Le Bien est partout, omniscient. Le Mal est marginal, et n’est que la caricature de lui-même. La simple évocation du nom du diable Adolph fait frémir ceux qui oseraient contester, s’opposer, se manifester face au rouleau compresseur du Bien.

Le père fouettard est mort, le père Adolph est né. Le Bien, en tant qu’issu des Lumières, comme l’africain français est issu de l’immigration, contient la Raison, le Savoir, l’indiscutable, l’inné, l’acquis, les Valeurs universelles et intransgressibles. Tout cela est incontestable. Les Lumières ont fini par aveugler le monde, comme les néons hypnotisent les insectes. Nous évoluons dans un espace en deux dimensions, à plat, infini mais toujours aussi désespérément à plat, où l’on n’a que l’illusion d’avoir le choix et d’être libre. C’est ça l’Egalité.

Les choses sont bien pesées, ont l’air bien en place. Les gens paraissent se laisser prendre au jeu, à ces fausses lignes, à ce théâtre de débat. Mais tout cela n’est pas réel. La scène est décalée. Les acteurs sont grimés. Le masque est posé de travers. Et si les Lumières étaient mères du plus grand obscurantisme, comme elles furent les filles travesties de la religion catholique ?

Le Bien a ce défaut énorme qu’il n’a pas de visage, et qu’il a de plus en plus des airs de gigantesque monstre. Ce Léviathan d’antéchrist s’oppose au visage bien identifié du Mal, celui d’Hitler et ce qu’il représente, or, même en inversant sa Terreur, ce visage ci est inamovible. Le Bien englobe là où le Mal exclu. Tant mieux pour nous. Il y a d’autres fenêtres de tir. Nous ne sommes pas les avocats du diable, nous sommes les procureurs du monde. Et nous avons un sérieux dossier.

Le Bien a ce défaut qu’il est trop orgueilleux pour ne pas agacer.

Le Bien n’a pas raison. Le Bien va à sa perte.

Le Bien ne souffre d’aucun affront.

Le Bien ne rigole pas.

Le Bien n’est pas réel.

Mais le Bien est mortel.

Sans le Mal, l’idée de Bien n’existerait plus.

Le Bien tente de normaliser son forfait, d’en effacer les traces. Mais il a besoin du Mal. Il maîtrise les effets spéciaux. Hitler est un hologramme, chargé de créer un faux Mal pour détourner les yeux du véritable Mal universel, le monstre, qui se présente comme le Bien (comme jadis les hommes se sont présentés comme Dieux). Mais la subversion, là, derrière ce maquillage, ne peut-elle pas échapper à sa réduction ? Ne peut-elle pas saisir sa chance de décrédibiliser le monstre, de recadrer les choses ? Ne peut-elle pas jeter des tomates sur ces mauvais acteurs ? Ne peut-elle pas penser en trois dimensions ? Ne peut-elle pas rendre au Bien usurpateur son vrai visage, ne peut-elle pas rendre Hitler à l’Histoire du monde, après avoir rendu au monde son Histoire ?

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