La Philosophie à Paris

CRITIQUE / La Sorbonne ou comment vous dissuader de penser

26 Janvier 2007, 08:14am

Publié par Paris 8 philo

En réponse à Ritoyenne, sur la répression qu'exerce sur la pensée l'histoire de la philosophie ou même la divertissment (ou détournement) qu'exerce la pensée "crépusculaire" de type dialectique ("A la tombée de la nuit l'oiseau de Minerve étend son vol") .

 

I. La Sorbonne

La Sorbonne est une excellente institution qui reconnaît la vraie philosophie, celle que l'état veut cautionner comme philosophie à suivre, mais restent les logiciens et les historiens de la philo il a manqué y avoir un clash, le président arrivé à la rescousse fut alors un professeur de Droit. Mais lentement ce sont les logiciens (Russeliens ou Wittgensteiniens, ce sont les mêmes) et les epistémologues et les historiens des sciences, bref les analystes (les lectores) qui prennent le pas sur toute la pensée spéculative. Mais la Sorbonne c'est aussi en France le passage quasi-obligé (même si je connaîsdes personnes de Paris X qui ont eu l'agreg du premier coup) pour acquérir la forme, pour se préparer à l'agrèg, non pour l'expérience de la critique d'un texte philosophique. Il y a là une sorte de consensus mou à ne pas franchir la limite d'une pensée qui tout en revenant à lenjeu, serait à la fois spéculative et non métaphysique. Il y a aussi l'ENS, sorte d'ecurie à Poulian hors norme, mais à part y trouver les nouveaux Derrida comme Maniguié (aux dire de sa compagne), les nouveaux Badiou, Quentin Meillassoux (même si Badiou n'a jamais cru au divin), les analystes à la vue trop courte comme Worms, qu'y a-t-il sinon un genre superfétatoire de philosophes-roi jamais sortis de l'institution. Mais réussir l'agrèg, que l'on Prépare à Paris I et IV (LA SORBONNE) ou rue d'Ulm (L'ENS) c'est bien finir dans le troupeau de ce qui deviennent spécialistes et théoriciens de la philosophie comme si cette bonne dame avait requis cela (oui me direz-vous dans la République de Palton livre II et III) mais y a-t-il une once de sagesse si la sagesse est le but rechercher, que nenni, c'est vant tout un garde manger, car supprimer ces chairs de philosophie et vous retrouverez nos chers professeurs ailleurs toujours à constituter un troupeau notable. Vous me direz il faut bien vivre de quelque chose en sortant de ses études de philosophie mais c'est que précisément la philosophie ne s'enseigne pas, Kant le savait déjà lui le premier d'un genre nouveau de professeurs. Pensez à la phrase de Gandillac enseigner l'inenseignable. Ces hommes théoriques et spécialitstes de la philosophie et peu enclin à la pratique découpent la pensée en périodes ou en régions géographiques, pour mieux découper son pactol. Qui sait s'il n'est professeur comment chaque camp (logiciens, wittgensteiniens, matérialistes, kierkegaardiens, analystes, phénoménologue, etc...) cherche à placer ses pions dans l'un ou l'autre des départements de philosophie. Cooptation, mére-assassine l'Université française. Une vague de scolastique qui revient puisque la génération des années 70 a eu le bonheur d'petre prdouctive et qu'il revient à la suivante celle de 2000 de dgirger tout cela. Aucun survol de Minerve n'est possible.

Bien entendu, il faut pas trop en dire, il ne faut pas en rajouter une couche, il ne faut pas dénoncer les formes de censures, les verrous que formes Renaud Barbaras (le phénologue qui envoie ses étudiants pointus à l'abattage en banlieue, bien impuissant qu'il est) ou David Lapoujade (qui triche avec lui-même sa vie durant, platonicien spécialiste de Bergson et Deleuze, un sacré cocktail) ou Eric Blondel (le Kantien "spécialiste" de Nietzsche), cela ne se fait pas. Il faut rester dans les formes. Et puis cela a toujours été le cas ce sont les fruit secs et les dents creuses qui ont toujours gouverné l'institution : Victor Cousin et son éclectisme, Brunschwig et son rationalisme. J'avoue qu'il peut y avoir du ressentiment au départ de ma part, mais la vraie liberté se conquiert aillieurs. Sortir la philosophie de l'institution, de la production d'un discours majeur ou dominant, et plus encore permettre à la pensée comme symptôme de la vie de s'exercer, voilà un but qui ne semble pas autoriser. Trop incertain car aujourd'hui ce sont des réusltat qu'il faut fournir et la philosophie universitaire en est bien incapable, car déjà la dissertation comme test d'aptitude rend compte de l'aptitude sophistiquée à discourir et non à penser. Qui plus est être critique dans le texte cela ne se fait pas, car cela reviendrait à critique cette institution millénaire. Passons le mode d'examen, car plus important, le maintien dans l'obscurité, dans les pré-carrés voilà ce qui est recommander, surtout ne pas faire de pont comme Bergson dans l'Evolution Créatrice, qui vous dégage d'un fil toute la philosophie, vous ressortir des exemple Nietschéen serait trop faciles, lui qu'ont dit juger trop rapidement la philosophie moderne. Surtout ne pas faire de raccourcis comme Nietszche dont on dit il avait si peu de connaissance de la philosophie moderne (spécialement de Kant et de Leibniz, mais c'est oublier coment ceux-ci se sont comporter en frein pour la pensée comme tout les universalistes qui se satisfont trop vite). Rester engluer dans le mot à mot du texte, agglutiner aux allocations de recherches, chercher toute sa vie s'en trouver grand chose, ne pas dégager d'horizon de la pensée comme Jocelin Benoist qui en reste au "Sujet pensant" chez Descartes, Frege ou Locke. Surtout ne pas crititquer, prendre des notes, acquérir par imitation ou mémoire une froide intelligence de la forme. Surtout dissuader de penser, de remettre en cause le professorat comme seul mode d'existence philosophique. Peut-être que ce n'est pas permis à tout le monde, mais nous nous le permettons, comme si l'institution avait toujours été le lieu e la pensée, comme si Platon et Aristote, les premiers agrégateurs, avait inventer la penser occidantale, eux qui n'ont que fonder la philosophie, quand la pensée se sentait décliner au bout de la troisième génération des grecs. D'om l'expression c'est à là tombée de la nuit que la chouette, l"oiseau desagesse, déplie son vol, que les rapaces arrivent, quand la vie commence à se décomposer, Horizons crépusculaires, dans toutes les dialectqiues (prétendant à la vérité), dans toutes les pensées catégoriques (toujours en quête de vérité). Que la pensée puissante et rigoureuse sorte l'institution comme en appelait Hegel et pas seulement dans les champs de bataille ou les faits divers, cela n'a pas toujours été de rigueur, car Dehors auxs mesz amis ils faisaient trop froid. Rassurez-vous les écoles philosophiques auront toujours un avenir pour les philosophies enmbaûmeurs.

Le critique est peut-être sévère, mais dès que l'étudiant, s'est constituer un discours, forger une vaine philosophique, son aptitude à percevoir le nouveau décline, engoncé dans son discours frelaté, suintant un verbiage abscons, pris dans sa logorrhée. Noyé le poisson, c'est peut-être cela que visent les spécialistes plutôt que de goûter à l'air pur du dehors. Vive la mauvaise herbe qui pousse dans la cour et ne s'assoit pas gentiment aux cours. Vive le bégaiement joyeux qui ne réfléchit pas en premier à la forme, qui ne tient pas discours en trois parties comme on fait son théâtre en trois actes, (il en faut trois à chaque fois, m'a-t-on appris, qu'importe le flacon pourvu qu'on est l'ivresse). Et pour prendre le contre-pied de tout cela, je ne pense pas l'historiographie d'e Michel Onfray sur les cyniques, les cyranéiques et les hédonistes, je pense plus simplement à l'excommunication de Spinoza, aux parcours de Schopenhauer sans qui il n'y aurait pas eu Nietzsche, à ce même Nietzsche hors institution. Car de suite il faut s'immerger dans les processus qui font la vie, le travail, qui réclament une autre pensée qui elle ne se perd pas en question métaphysiques, toujours à ressasser la même angoisse, la même incapacité à vivre dangereusement. Dans l'institution le jeu consiste, de fait, pour un professeur à être plus savant que ses étudiants, quelque soit le sujet abordé, et à être sans cesse testé sur ce point d'où l'importance d'une grande mémoire. Mais Diantre l'encyclopédique internet est apparu faussant la donne institutionnelle avec ses devoirs prêts à l'emploi. L'institution en prend un coup, le cancre gagne en superbe. Je ne fais pas l'apologie du cancre, du fainéant, mais tous les "génies" sont ceux qui coûte que coûte, vaille qui vaille, se sont placés dans un processus, ont contre l'histoire (qui se répète) fait l'évènement, qui ont dépassé la situation misérable qui les attendait : Wittgenstein et les suicide de ses trois frères, la décadence d'une famille, les période d'exil. Voilà ce qui forge un penseur audacieux et entreprenant. Placez-le dans une institution et il finira comme le veut son destin dans une maison de retraite, adoptant toujours dans ses écrits, dans ses paroles, le point de vue de l'institutionnalisé, du rémunéré à proférer des bonnes paroles qui berce l'esprit plus qu'elle ne l'active.

Derrière cette froideur, cette putréfaction des membres inférieurs où est la pensée, la vie, le travail, toutes ses dimensions propres à une société ou une culture du mouvement (ce que l'on appelle aussi en philosophie les forces du Dehors ) : on les élude, on se demande comme Hegel pourquoi la nature ne sied-elle que si peu à son arrière-train de système philosophique. La réalité c'est qu'il n'y a ni Dedans ni Dehors (aphorisme de Nietsche contre ce même Hegel), le dedans, la résistance ultime du philosophe que l'on retrouve aussi chez Foucault et Deleuze, c'est une posture arrêtée et confortée par l'institution. Au dedans de la philosophie, comme au dedans de la faille qui constitute tout Je fêlé, (cf. Holderlin et les romantiques allemands), il y a des gens qui ne pensent pas, Monsieur, qui ne vivent pas tragiquement ou intensément, Madame, qui ne sécrète rien de nouveau, Mademoiselle, qui se complaisent tout bonnement à recevoir leur salaire, à donner le change. Tricher avec l'institution, leur vie durant plutôt que de trahir cette vielle rentière au prestige pâtiné voilà à quoi il se destine. Pendant se tend la vieille prend des galons et tape des Etats généraux ce qui la rend d'autant plus séduisante avec sa patine de façade. Mais que feraient ceux qui sont incapable de mettre en oeuvre quoi que ce soit, pas même ce pour quoi ils sont payer : une pensée, une éthique. Non on est bien au chaud, qu'on s'y répète, dehors il fait si froid que c'est pour les braves, nous nous sommes les héritiers d'une rente qu'on les entend susurrer.

L'Histoire de la philosophie c'est avoir découper la philosophie en période où chaque prof devient un spécialiste du texte. Mais entre enseigner la philosophie et la pratiquer, il y a une grande différence. LA Sorbonne est devenue de plus en plus une coquille vide. Certes il y a Monsieur Karsenti, Le chatoyant Monsieur Haar, le débonnaire Monsieur Duportail. Mais les femmes en mènent pas large je pense à Mme Thomas-Fogiel à qui son premier jury de thèse n'a pas voulu se réunir. Je pense à la bosseuse Mme AnneWersinger. J'attends que Mr Michel Bitbol soit plus conséquent quant à sa pensée et sorte de ses pantoufles. C'est une chose de penser en acte s'en est une autre d' "enseigner l'inenseignable". Alors on a inventer depuis le XIXe Siècle la "formatrice" histoire de la philo. Nombre d'étudiants finissent par faire des sujets qui ne leur conviennent pas pour satisfaire la bienséance, la spécialité de qui pourra leur donner la bourse. Une grande Comédie fait à son endroit, le principe étant d'avoir sa raie toujours bien placée au chaud, au creux de l'institution, mais quelle aptitude a-t-on acquise sinon celle du discours de la réthorique, la grande ennemie pourfendue.

Pour en revenir au cas plus spécifique qu'est là Sorbonne et notamment Paris I, quand on se sépare d'un de ceux qui a marqué une génération, je pense à Patrice Loraux (sans qui Le Cazals ne serait là, sans qui François Zourabichvili, Karsenti, de Sainte-Ours ne serait pas ce qu'ils sont ou ont été), c'est iben qu'il y a quelque chose qui cloche. Monsieur Loraux lui-même qui défendait l'institution il a compris qu'elle n'était que façade. Triste leçon à son endroit. Mais est émérite qui ne le mérite pas.

Si Ritoyenne veut que je continue, il y a aussi les rapports que la Sorbonne a entretenu avec Bergson, avec le dernier Merleau-Ponty (celui que Renaud Barbaras, finit par faire taire). Quant à Paris 4, le tiers-mondisme de la penser n'est là que pour cahcer un grand vide. Luc Ferry (en on temps), Coi*mte-sponville, Alain Renaud (même si sa traduction de Kant est excellente) sont les garants de l'agrégation, du maintien de l'ordre. J'avoue que les thémtiques de l'agrèg se sont améliorer. Bien entendu nous sommes mal placé puisque gracieusement on nous a demandé d'en partir. Mais comme à chaque debut de siècle c'est le vide qui domine, si la façade de la vieille institution se lézarde, très bien on la repeint. Mais derrière ce sont des noyaux secs qui enseignent, choses que disaient à mi-mots certains de ses ayant-droits. Rien de plus à dire, et ce post n'est pas là pour changer quelque chose. Petit à Petit les "philosophes" même partent de la Sorbonne, ils n'ont plus que deux salles et demi au lieu des quatre s'il y a dix ans. Je parle pour Paris 1. Mais Ritoyenne peut-être feras-tu un petit speech sur Paris 4, pour nous remettre dans la droite ligne auquel cas nous le publierons. En attendant ta réponse...

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A
I am not really into philosophical theories. There are a lot of departments in the French Universities which has got such many subjects with philosophical subjects. It was interesting to know the history of Philosophy from your site. Thanks for the share.
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O
<br /> Très cher ; je croise mon nom (heureux de cette dédicace aux côtés d’Eric Lecerf) sur ce site qui, tu le sais, me déroute parfois par ses états intermédiaires, sa monstruosité, dans le tout premier sens du terme. Je trouve par contre assez juste ce dont tu parles (le moment expérimental ?) à propos de Paris 8 (ce lieu dont on se revendique comme d’un complexe assumé), et c’est peut-être analogue à ce qui habite certaines pensées rationalistes, un « shift », une vue synthétique des constructions qui en affirme l’incomplétude et qui souffle à qui se met en quête de la totalité, forcément fictive, aussi fictive que la mort qui n’est que le nom d’une désorganisation, quelque chose comme « qu’importe, on est porté », pour reprendre les mots d’un ami. Et la vaine pâture analytique, scolastique s’évanouit alors sous le coup de cette saisie que le plus vif de nos contemporains synthétise sous l’égide de l’événement : le matérialisme redevient dialectique dans sa formulation inversée, dialectique matérialiste d’un Badiou qui nous a désappris l’histoire de la philosophie plutôt dans le sens de la systématisation ouverte que dans l’enculage (voir Deleuze, « Lettre à un critique sévère »), acte qui serait, comme on nous l’a dit chez Sade, suspension de la loi. Suspension en tant que cet enculage des figures historiques de la philosophie nous sort des entéléchies, de l’aliénation filiale, de l’infinie reproduction qui habite, insémine l’interprète (« pollou spermatos mestos ! »), ce qui semble t’insupporter… C’est sans doute en ce sens de lieu favorable aux « shifts » (un peu universalisé, évocation de l’analytique oblige) que Paris 8 demeure une singularité, mais c’est pour cela aussi pour beaucoup, malheureusement, que Paris 8 ne se suffit pas à elle même et que, on se risque à le penser, elle ne saurait survivre dans cette dimension particulière sans l’extériorité absolue que constitue cette apparemment « sublime » et cousinienne (« consanguine » ?) production sorbonnarde, qui modalise sa subversion.<br />
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O
Peut-être, mais vous ne répondez pas à ma question de savoir où se trouve le texte auquel vous répondez, s'il existe.
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O
Pourriez-vous préciser où se trouve le texte de Ritoyenne auquel vous prétendez répondre par cet article ? Je ne parviens pas à le trouver.
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P
Ritoyenne pense que Paris 4 (la Sorbonne) serait équivalente à Paris 8. Seulement, même si les deux appartiennent à l'unviersité française c'est de manière différente. Peu de Sorbonnard sont enclins à venir à Paris 8, car arrivé ici (à Paris 8), il faut savoir faire abstraction du cadre parfois, Paris 1, c'est plus guindé. Mais il n'y a qu'à Paris 8 que suinte une saveur bien particulière qui est celle non d'une révolution mais d'un prise de risque qu'on nomme expériementation (Elle est pratiqué par MM Rambaud, Prado, Loraux et Lecerf en autres). C'est quelque chose s'assez fragile, d'assez ténu, mais qui au final produit quelque chose de bien différent, que l'analyse formel d'un texte qui ne critique pas d'un once de poil.
O
La Sorbonne est, plus que jamais, à prendre.
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P
Sans doute puisque'elle est de l'ordre du symbole, une façade sans contenu puisque les profs se surveillent les uns les autres. Tout professeurs ayant un rapporteur à ses début qui fait un rapport sur le contenu des crous.  Mr Loraux avait été le rapporteur de Mr Renaud Barbaras pour parler de ce que j'en sais. C'est à dire qu'il n'y a pas autonomie ou de lignes de rechercje possible puisque d'avance il ne faut pas se perdre et savoir où l'on va.
R
Je vous ferai une réponse, courte.En revanche, serait-il possible que vous vous RELISIEZ lorsque vous postez ? Je veux pas vous désobliger, mais un tiers des phrases sont coupées, non finies, ou incompréhensibles.Je suis pas du genreà pinailler, mais ce serait plus agréable si vous retouchiez un peu votre texte, sur la forme j'entends.La fond reste compréhensible, of course.
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P
C'est en cours. On fait au mieux. On a le droit de vivreet malheureusement de ne pas faire attention à la forme, le cas échéant :-p.
R
Ce symptôme qui vous hante ..Ca en devient pathologique ...La méchante sorbonne par ci, la méchante sorbonne par là ..Vous devriez assister à certain de nos cours, .. jvous invite, tiens :)C'est bien étrange que l'histoire de la philosophie soit assimilée à la sorbonne, que la sorbonne soit associée à l'histoire de la philosophie ... Comme si les deux se recouvraient.
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A
La Sorbonne n'a rien de méchante, on ne fustige ps comme beaucou pde philsophes pudibonds et incapables, la méchanceté. Des gens simplement épuisent leur puissance ou plus exactement le pouvoir de vrrouiller les choses que leur donne une institution. Il y a comme une lassitude chez les professeurs, une ryhtme de communicant qui n'est pas celui de la pensée, elle se fait à la belle saison. le plus souvent, c'était le cas pour Niezsche et Pour Deleuze (Mille Pateaux s'appoelle aunsu en référence au Plateauw de Mille Vaches où l'été Deleuze écrivait). Bizarrement l'instittuion nous fait de l'enseignement l'hiver. L'été devant être réservé aux vacances de la pensée.<br /> Merci Ritoyenne pour l'invitation mais nous n'avons ni la carte endant des années il a fallut tricher avec une carte qui ressemblait vaguement à celle des agrégatifs. Peut-être Karsenti et Bitbol en valent le coup. Mais ceux qu'ialent les étidants qui la fréquente c'est le ron(ron qui s'y donne pendant les coiurs, et qui n'est pas celui de la vie active. Tiens donne-nous des bons profs int"ressant de Paris 4, mais aussi cela dépend-il de ce que l'on avaler et digérer et qui fait que le goût s'affine devient plus difficile comme la diététique de penser que s'imposer Kaka.  Il y a très peu de phiosophie qui sonnent juste hors de l'instittution, celle de Hegel, de Badiou, de Palton traissant Socrate , celle de Kant et Leibniz sont par leur possibilité limitées des friens pour la pensées si on ne veut les dépasser comme l'idéalisme allemant de Fichte et Schelling, qui forma le romantisme de Hegel et Schiller. Mais qu'a à nous apporter la Sorbonne de feu Monsieur Cousin, de feu Monsieur Brunschig (sorry pour l'orthographe approximative).<br /> Alors que pratique-ton à la Sorbonne. : la philosophie ? Que nenni. Mais je vais pas me faire apothicaire ou médecin du XVIIe siècle face à ses logorrhées, celles de la Sorbonne. Pourquoi ne pas lire les Héritiers de Bourdieu ou ses livres sur l'homo academicus. Lecture fort à propos.