La Philosophie à Paris

POLITIQUE / La gauche identitaire

6 Février 2021, 23:25pm

Publié par La Philosophie

Comment rendre caduque toute révolution politique, économique, environnementale en mettant en avant une évolution des mœurs qui relève plus du délire et du transhumanisme hormonal que d'une réelle remise en cause de ce qui est : du pouvoir étatique intrusif (les télécrans que chacun possède avec micro et caméra, les backdoors partout...) sans pour défendre l'intérêt des multinationales soit les intérêt des grandes fortunes en financer ses services secrets sur le marché de l'armement et de la drogue (on pensera à la guerre en Afghanistan ou au pétrole de l'Etat Islamique qui a permis d'acheter des pick up produits aux Etats-Unis ou au Mexique). L'état ne surveillent pus les frontières, il s'immisce chez les gens.

Ce que l'on voit ce n'est pas de l'identité c'est un délire d'appartenance où la projection délirante ne fait que renforcer la distinction patriarcale entre hommes et femmes puisque c'est sur le sexe opposé qu'on se projette et non sur un neutre. Chimère hybride qu'il ne faut pas démonter du fait de son parcours douloureux. N'oubliez jamais que l'irénisme est une attitude condamnée par la religion, une ,,Attitude d'esprit condamnée par l'encyclique « Humani Generis » selon laquelle on tolère de façon tranquille des erreurs graves, inacceptables, par désir exagéré de paix et de conciliation`` (Foi t. 1 1968)

Les trans se pense certainement non-binaire alors que précisément elles partent d'un pôle pour allez à l'autre. C'est comme la même chose avec le féminisme quand il se met à rejeter les femmes trans, parce que pas assez pure dans leur désir binaire. Et oui on non accusera de cissexisme alors même que ce sont certaines féminisme qui le commette de peur de voir leur idéaux trahi par ceux qui partirait d'un peu plus loin. Tout cela n'est qu'identitarisme renfermé qui n'admet pas la nuance. Plutôt que parler de transformisme, le point d'arrivé est bien connu (identification).

Et nous sommes tomber sur ce commentaire par rapport au mouvement du spectacle de la philosophie trans

This is a big political shift that has been happening across the last roughly 15 years or so. Back in the late George W. Bush presidency, the left loved emphasizing that they were all about facts and logic and reason. They would talk about issues like "creationism" and climate change, and there would be a handful of relevant cliches they would employ to argue that their position is the only reasonable one. This is where the skeptic community started.

Now, the left rarely even bothers. With the big push for trans acceptance a few years ago, it seemed like for the first time, they never even bothered to create a coherent narrative. In 2021, it is normal for academics to say that a perception or feeling or "subjective experience" shared among a group (as long as it's not white men) can inform valid political positions.

Il s'agit d'un grand changement politique qui s'est produit au cours des 15 dernières années environ. À la fin de la présidence de George W. Bush, la gauche adorait souligner que tout était question de faits, de logique et de raison. Ils aurait discuté de sujets comme le « créationnisme » et le changement climatique, et il y aurait une poignée de clichés pertinents qu'ils auraient employés pour argumenter que leur position est la seule raisonnable. C'est là que la communauté sceptique a démarré.

Maintenant, la gauche dérange rarement. Avec la grande poussée pour reconnaissance des trans, il y a quelques années, il semblait que pour la première fois, ils ne se soient même jamais donné la peine de créer un récit cohérent. En 2021, il est normal que les universitaires disent qu'une perception ou un sentiment ou une « expérience subjective » partagée au sein d'un groupe (tant qu'il ne s'agit pas d'hommes blancs) peut éclairer des positions politiques valables.

En somme , la marginalité est légitimité. ou plutôt l'étrangeté du divertissement est source de profit.

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